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Critiques Express

Conman In Tokyo    (2000)
Conman In Tokyo est des plus décevants. D'abord, il est produit par Wong Jing qui, même s'il est extrêmement critiqué (et est loin d'être un "auteur"), n'en reste pas moins un bon faiseur lorsqu'il s'agit de produire ou réaliser des films distrayants aux budgets confortables. C'est d'ailleurs lui qui est à l'origine de la série des God Of Gamblers. Mais Conman In Tokyo est encore plus décevant car il a été réalisé par un ancien maître, Ching Siu Tung (curieusement rebaptisé Tony Ching au générique !), incapable de réaliser un bon film depuis qu'il a été lâché par le grand Tsui Hark (j'en veux pour preuve le navet Wonder Seven, sa participation à Blacksheep Affair ou le semi-échec Dr Wai In " The Scripture With No Words"). Si vous vous attendez à de grandes scènes d'action, mieux vaut passer votre chemin et revoir certains de ses anciens films (les superbes Duel To The Death, Dragon Inn, The Heroic Trio, Moon Warriors, la trilogie des Swordsman, Butterfly And Sword...), car ici les acteurs ne sont pas des artistes martiaux et la mise en scène est pataude.
Louis Koo a été choisi par Wong Jing pour rajeunir la catégorie des films de jeux, Andy Lau (star des deux autres Conman, The Conman et The Conman In Vegas) et Stephen Chow (ne parlons même pas du bedonnant Chow Yun Fat qui n'avait déjà participé à God Of Gamblers' Return qu'à cause d'une obligation contractuelle) étant jugés trop vieux pour attirer la nouvelle génération de spectateurs. Gageons que la manœuvre n'a pas réussi puisque le film a été un échec au box-office. Nick Cheung, quant à lui, est aussi insupportable que dans The Duel, c'est tout dire...
Le final est délirant, grandiloquent, totalement non crédible.
David-Olivier Vidouze 12/1/2000 - haut

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 12/1/2000 David-Oliv...

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