Hong Kong Cinemagic
Version française English version
 Critiques   Forum   Facebook  
 Personnes
 Films
 Studios
 Lexique
 Vos réglages

Rech. HKCine
Utiliser la Recherche Google
>> Aide

 Réalisateurs
 Acteurs
 Techniciens
 Producteurs

 Arts martiaux
 Action / Polar
 Comédie
 Drame & Opéra
 Catégorie 3

 Shaw Brothers
 Comptes rendus
 Industrie du film
 Culture et société

 Tests DVD Z2 VF
 Tests DVD SB Z2
 Autres Tests DVD
 Bibliographie
 Guide d'achat

 La Catégorie 3
 Héros handicapés
 Le Japon et HK
 Index des Archives

 BOF & Musique
 PDF & E-books
 Livre d'or VIP

 Plan Du Site
 Archives des éditos
 Aide à la Navigation
 Rédaction
 Historique
 Liens Web
 Le ciné HK et nous
 Livre d'or
 Remerciements
 HKCinemagic 2

Statistiques :
11630 Films
19215 Personnes
1448 Studios
230 Articles
82 Interviews
155 Tests DVD
32452 Captures DVD
3722 Vidéos
Critiques Express

China Strike Force    (2000)
China Strike Force marque le grand retour de Stanley Tong à Hong Kong, après une escapade de plusieurs années aux Etats-Unis, le temps de réaliser le nullissime Mr. Magoo pour Walt Disney (avec Leslie Nielsen) et la série Martial Law (Le Flic de Hong Kong, avec Sammo Hung) pour la chaîne américaine CBS (diffusée en France sur M6).
Stanley Tong a-t-il perdu son talent au contact des Américains ? S'est-il affadi ? Force est de constater que cette expérience ne l'a pas ramené dans son pays plus déterminé et inventif que jamais, à l'image d'un Ringo Lam livrant un Full Alert explosif après les frustations d'un Maximum Risk non maîtrisé. Non, Stanley Tong a réalisé un film dans la lignée de First Strike, son principal atout en moins : Jackie Chan. Pour le remplacer, il a fait appel à une troupe d'acteurs plus médiocres les uns que les autres, l'OVNI Coolio en tête (encore pire ici que dans ses raps, dont est malheureusement affublée la bande son), espèce de caricature de truand black qui ferait passer Chris Tucker pour un acteur bergmanien ! En plus, il s'essaye au kung-fu... Aaron Kwok est toujours aussi mauvais et n'a vraiment pour lui que sa belle gueule : difficile de croire à ses combats. Mark Dacascos ne sait lui aussi pas jouer, on le sait depuis longtemps, mais au moins ses joutes martiales sont convaincantes. Il est malheureux qu'il n'en ait pas plus... Noriko Fujiwara est mignonne. Que dire de plus ? Que ce n'est pas une actrice ?
Les scènes d'action, spécialités de Stanley Tong à sa grande époque (rappelez vous Police Sory 3 - Supercop...), sont complètement ratées : poursuites en voiture ridicules (jamais le fuyant et le poursuivant dans le même plan !), cascade à moto tellement découpée qu'on ne voit rien (à mille lieues de celle effectuée par Michelle Yeoh dans Police Sory 3 - Supercop !!!), utilisation outrancière des câbles (un peu comme dans les américains Charlie's Angels et Romeo Must Die)... Là encore rien à sauver, mise à part la séquence finale en haut d'un building en construction sur une plaque de verre suspendue. Il paraîtrait que la faute en incombe en partie à Aaron Kwok qui a insisté pour réaliser lui-même ses cascades, le visage à découvert (il faut que le spectateur voit bien que c'est vraiment lui !). Et comme, bien entendu, ce n'est pas un cascadeur, il a fallu découper et redécouper les plans.
Le scénario est tout aussi faiblard et n'arrive pas à nous captiver entre les quelques petites scènes d'action. Un grand vide de près de trois quarts d'heure survient au milieu du film. Ce moment est interminable et nécessiste l'usage de la télécommande.
En conclusion, il est pathétique qu'un réalisateur aussi talentueux que Stanley Tong (metteur en scène, je le répète d'un des plus grands films d'action de tous les temps, Police Story 3 - Supercop) nous livre, pour son retour au pays, un navet aussi affligeant que China Strike Force. A croire qu'il ne s'est pas remis de son expérience américaine...
David-Olivier Vidouze 9/1/2001 - haut

China Strike Force    (2000)
Apres une timide expérience américaine (Martial Law avec Samo Hung dont il réalisa le pilote), Stanley Tong revient avec un film doté d’un casting jeune et international (Fujiwara Norika pour le japon, Coolio pour le marché américain et Mark Dacascos pour faire plaisir à Christophe Gans) que l’on pourrait presque taxer d’opportuniste. Normal, puisqu’il est prévu d’être vendu aux quatre coins du monde. Le problème, c’est que même si les scènes d’actions sont efficace, Stanley Tong réalise ici un film sans grande personnalité ni originalité, qui fait succéder aux combats et aux courses poursuite des moments de romance et d’humour. Pas besoin de préciser dans quel domaine il est le plus doué ni non plus d’ajouter que tout cela ressemble à un produit calibré destiné à plaire au plus grand nombre.
David Anéas  - haut

Index de la page
 9/1/2001 David-Olivi...
 David Anéas

 Publicité avec Google AdSense   Participer au site   Contact   FAQ   Utilisation contenu du site   Disclaimer   Rapport d'erreur  
copyright ©1998-2013 hkcinemagic.com