Dans les récits portant sur Huo Yuan-jia O'Brian est habituellement présenté comme un fier à bras venu exprès en Chine pour « casser du jaune » afin d'intimité et d'humilier « les hommes malades d'Asie » encore davantage. En fait il semblerait que O'Brian n'ait été ni un boxeur, ni un lutteur mais un homme fort. Bien que depuis longtemps passé de mode de nos jours, les exhibitions d'homme fort étaient très courues à une certaine époque. Certain d'entre eux pouvait même devenir des vedettes très riches, entreprenant des tournées à travers le monde de l'Europe à l'Amérique et même se rendre aussi loin que l'Australie. Les spectacles d'homme fort devaient être encore une nouveauté en Chine au début du vingtième siècle cependant et lorsque O'Brian arriva à Shanghai en 1909 sa venu a due constituer tout un événement.
Dans leurs numéros les hommes forts tirait ou soulevait des poids et brisait des chaînes. Certains pouvaient aussi invité des spectateurs à venir se mesurer à eux dans un ring. Ce défi juger si insultant par les chinois, O'Brian l'avait probablement lancé à d'autres endroits et à d'autres spectateurs que des chinois. Si il est fort possible qu'O'Brian ait agit d'une manière jugée provocantes par les chinois, il est plus que douteux par contre qu'il est vraiment eut toutes les intentions belliqueuses qu'on lui ai attribué. Toutefois, dans le climat tendus de l'époque ou la Chine et les Chinois se trouvait à la merci de nations étrangères impérialistes et de leurs citoyens fier à bras, il n'ai pas étonnant que le défi d' O'Brian soit paru insultant pour les chinois et qu'on ait fait de lui un émissaire venu prouvé la suprématie des blancs sur les jaunes.
Si la grande force de O'Brian lui permettait de confronter des individus de taille normale il est probable qu'il n'était pas un véritable combattant ou que c'est qualifications dans ce domaine soit limiter. On peut mieux comprendre alors pourquoi O'Brian s'est montré réticent a vouloir affronter Huo Yuan-jia. Il est également possible que l'envergure et l'intense engouement populaire entourant le tournoi l'ai intimidé. Pas étonnant qu'il ait préférer filer en douce.
Considérer un héros suite au tournoi de Shanghai, Huo Yuan-jia devint une légende suite à sa mort soudaine. Or toute légende à sa part d'exagération, de simplification et de déformation pour agrandir davantage le héros de même que rendre ces exploits plus extraordinaires et plus nobles. Séparer la véritable histoire de la légende dans le cas de maître Huo est chose difficile de nos jours presque un siècle après les fait. Ce qui est indéniable cependant c'est ce que Huo Yuan-jia est venu à représenter pour les chinois; le symbole héroïque d'un peuple trop longtemps opprimé et bafoué.
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