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Fantasia 2011
Films Canadiens 2/2 - Page 8
Infos
Auteur(s) : Yves Gendron
Date : 15/12/2011
Type(s) : Compte rendu
 
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The Theatre Bizarre

Sept cinéastes spécialisés dans l'horreur (et tous familiers avec Fantasia) ont décidé de faire un film à sketchs intitulé THE THEATRE BIZARRE (BA). Ils ont trouvé leur financement avec une compagnie de ciment (?!) et chacun aura produit en toute liberté un court métrage dans leur style et avec leurs préoccupations très distinctes. Assez curieusement, quatre des sept histoires tournent autour de relations de couples qui virent au vinaigre, ce qui crée une certaine redondance.

 


Mother of Toad de Richard Stanley est un récit librement inspiré de l'auteur pulp Clark Ashton Smith  se situant dans le magnifique cadre des Pyrénées (ou vit d'ailleurs le cinéaste) avec sorcière, crapauds et copulations inter-espèces. Superbe visuellement et très réussi avec son atmosphère glauque et poisseuse mais hélas un peu court. Plus réaliste, I Love You de Buddy Giovinnazo est le récit d'une rupture amoureuse, entre une jeune femme qui cherche à se libérer de son amant obsédé et possessif. C'est très bien écrit, mené et joué mais plutôt convenu car on voit la fin venir dès le début. Wet Dreams de Tom Savini mélange rêverie érotique, cauchemar castrateur, chicane de couple et vengeance féminine. C'est le segment le plus léger mais dont la fin à mon idée rate le coche. Dommage.  The Accident  de Douglas Buck est le plus songeur du lot, récit sobre et poétique de la première rencontre d'une petite fille avec la mort.  Vision Stains  de Karim Hussein est le plus glauque et halluciné : récit d'une junkie qui se drogue à la mémoire des autres en s'injectant l'aiguille directement dans l'œil. Le dernier  Sweets  de David Gregory fait la métaphore entre obsession alimentaire et amoureuse. C'est le plus dégoûtant et stylisé. Toutes les histoires sont intercalées avec des interludes réalisés par Jeremy Kasten où dans une salle de théâtre délabrée le grand cabotin par excellence Udo Kier déguisé en marionnette de papier mâché joue les bonimenteurs. Après le film, tous les réalisateurs et les acteurs sont descendus au devant de la scène, en tout, trois à quatre douzaines de personnes. En général, j'ai moyennement apprécié, aucun des films ne m'ayant vraiment renversé. La salle par contre a beaucoup aimé et ce type de film à sketches est une expérience des plus valable. 

 
Monsters Brawl

MONSTER'S BRAWL (BA)  réunit les créatures les plus célèbres du cinéma d'horreur (Frankenstein, Le Zombie, la Momie, le loup garou etc) et les fait s'affronter dans une série de matchs de lutte haut en couleur à la  WrestleMania.



Pastiche truculent et efficace tant des films de monstres des années 80 (The Monster Squad et Fright Night ) que des matchs de lutte avec Hulk Hogan, Monster's Brawl s'avère tout de même trop long et (oh surprise) répétitif. Le concept serait peut-être bon pour un court ou un moyen métrage (de 15 à 35 min) mais pas autant pour un film d'une heure et demi, même si les matchs sont intercalés d'interludes allumés présentant chaque monstre dans son environnement. Déguisements, maquillages et décors sont très réussis, les créatures fort bien campées, les combats ok mais pas aussi déchaînés et inventifs que les vrais matchs de lutte. Toutefois à mon idée la palme revient aux acteurs jouant les présentateurs : Art Lindle et Dave Foley dont la savoureuse expressivité et leurs boniments débiles à souhait porte le film autant que les matchs de lutte. Le film va surtout plaire aux amateurs rétros des années 80. Le réalisateur et la plupart de acteurs sont venus présenter le film et recevoir les applaudissements du public bien diverti une fois le film terminé. 

 
Beyond the Black Rainbow
 
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