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Lady Kung Fu    (1981)
My Young Auntie est une pure Kung Fu Comedy. D'une part il y a du kung fu, et d'autre part... de la comédie. La formule est aussi simple que cela, et un maître de la caméra et des arts martiaux comme Liu Chia Liang n'a pas tardé à s'affirmer dans le genre de prédilection de Jackie Chan, son Spiritual Boxer étant considéré comme le premier film de kung fu qui mêle combats et humour. Comme souvent dans ce genre de film, tout est prétexte à l'affrontement physique et aux joutes martiales : un mot de travers suffit pour faire bondir une tigresse comme Hui Ying-hung, qui ici devient la tante de Yu Jing Chuen (le réalisateur himself), homme honorable dont le fils surnommé Charly est une vraie pile. Les combats sont merveilleusement chorégraphiés, rapides et parfois assez aériens dans un style plus direct et moderne que les combats d'un Executioners From Shaolin qui décomposait au maximum les mouvements des combattants avec beaucoup d'ampleur. Liu met donc à profit les hautes compétences martiales de ses deux jeunes acteurs, Kara Hui et Hsiao Ho, tous les deux débordants d'énergie. Au moment de la rencontre des deux jeunes gens, un petit malentendu va évidemment les amener à se battre, les mots d'anglais et le côté taquin de Charly énervant toujours plus celle qu'il ignorait être la tante de son père. Et à chaque fois cela repart de plus belle dans une ambiance de défi et de dépassement de soi et de l'autre : chacun veut montrer sa supériorité à l'autre (beau concours d'acrobaties au moment de la rencontre entre les deux jeunes gens) mais les deux sont au même niveau. Les affrontements ne sont jamais vraiment sérieux mais demeurent toujours dans cet esprit de compétition et de performance martiale, et la barre est placée très haute dès le départ.

L'occidentalisation de la Chine est un thème cher à Liu et présent dans My Young Auntie. Ce phénomène croissant à l'époque à laquelle se déroule l'histoire est symbolisé par le personnage de Charly Yu. Charly revient chez son père à Canton après avoir étudié à Hong Kong, où les Anglais influencent beaucoup le mode de vie des Hong Kongais. Ce jeune homme fougueux est lui-même séduit par la mode occidentale, et parle anglais à la grande incompréhension de certains de ses interlocuteurs chinois. Alors que dans Drunken Master II (dont on ne sait pas vraiment qui est le principal responsable entre Jackie Chan et Liu Chia Liang après leur dispute sur le tournage) cette "invasion" occidentale était scandaleuse et dangereuse pour la culture chinoise au point de faire des personnages anglais de véritables ordures, Liu Chia Liang utilise pour My Young Auntie cette arrivée d'une nouvelle culture pour les scènes comiques. En effet, voir Hsiao Ho apprendre à la jeune tante de son père à s'habiller et à se coiffer à l'occidentale est particulièrement plaisant, surtout si l'on sait que la jolie jeune femme va taper quelques voyous quelques instants après dans sa robe de soirée. Hsiao Ho est tout simplement l'acteur qu'il fallait pour incarner ce jeune homme très énergique voulant à tout prix être à la mode occidentale, opposé à son père fortement attaché aux traditions chinoises. Ce père, dont Liu s'est confié lui-même le rôle, ressemble tout à fait à ce que l'on pourrait penser du réalisateur, défenseur du patrimoine culturel chinois dont font partie les arts martiaux.

La longue scène finale enchaîne combats sur combats, et marque l'alliance des trois personnages principaux (Liu Chia Liang, Hsiao Ho et Kara Hui) malgré les petits différends amusants qu'ils ont eu tout le film durant, pour la sauvegarde des biens familiaux. Ce sont donc trois redoutables combattants, dont Kara Hui en jeune femme autoritaire et experte en arts martiaux, qui affrontent une horde de voyous voulant soutirer les biens mobiliers dont la jeune femme devrait normalement hériter. Lances, épées, sabres, tri bâtons, les armes chinoises sont maniées par les acteurs qui sont visiblement tous des pratiquants d'expérience. A un moment, un combattant à la musculature plutôt développée barre la route des trois héros. Après avoir échoué en opposant la force à la force, Liu Chia Liang et son fiston comprennent comment trouver la faille du tas de muscle qui leur fait face, par l'intelligence, tel le fils de Hong Xiguan étudiant le système de défense du vieux Pai Mei pour mieux le surprendre et l'éliminer dans Executioners From Shaolin. L'ensemble de ce long final constitue une scène d'anthologie dans l'histoire du film de Kung Fu à la hong kongaise.

Liu Chia Liang impose un personnage féminin avec cette jeune tante qui ne se laisse pas faire par le mâle excité par ses charmes ou le machiste de service. Kara Hui nous montre comment une femme peut connaître l'art du combat tout en restant élégante et féminine. Le spectateur masculin trouve finalement beaucoup de plaisir à voir une jeune femme dominant les hommes, et les battant sur leur propre terrain : celui de la force, de la puissance qui caractérise le « sexe fort ». Ce principe de domination féminine a fait les beaux jours du Girls With Guns, de la série des In The Line Of Duty, mais est déjà visible dans Executioners From Shaolin ou Come Drink With Me. Liu Chia Liang estime que les arts martiaux peuvent être utilisés aussi bien par les femmes que par les hommes, que l'art du combat n'est pas une question de sexe mais de volonté et d'entraînement.

Par My Young Auntie, Liu Chia Liang met en avant deux de ses meilleurs disciples, le jeune Hsiao Ho (qui était cascadeur à l'âge de dix sept ans) et Kara Hui Ying-hung qui donne ici un élan de féminité à un genre de film qu'on dit souvent dominé par les hommes. Le maître ne se contente pas de présenter ses deux protégés, il fait lui aussi démonstration de ses talents martiaux par l'exécution d'un tao dans les premières images du film, et sa contribution aux affrontements mouvementés de la fin. Réalisateur, chorégraphe, acteur et artiste martial, Liu gagne sur tous les fronts et offre un bijou de comédie Kung Fu.
Florent d'Azevedo 7/1/2004 - haut

Lady Kung Fu    (1981)
My Young Auntie est peut-être une des meilleures comédies kung-fu - et peut-être même la meilleure ! - réalisées par le grand Liu Chia Liang. Scénario, chorégraphies martiales, rythme, interprétation : tout est largement au-dessus du commun des films hongkongais de ce genre (et Dieu sait s'il nous a donné pas mal de chef-d'oeuvres !).

Un chef de famille, sur son lit de mort, épouse une jeune femme (Kara Hui) afin que l'héritage ne passe pas entre les mains d'un de ses frères cadets, le "troisième oncle" (Johnny Wang), homme mauvais et de peu de scrupules. Une fois le mariage conclu et le décès survenu, la nouvelle "grand-tante" décide de transmettre le testament et les actes de propriété à un autre membre du clan, le bon "deuxième oncle" (Liu Chia Liang), et se rend dans sa demeure cantonaise. Peu de temps après son arrivée, le jeune fils turbulent et occidentalisé de la maison (Hsiao Ho) rentre de Hong Kong en fanfare...

My Young Auntie pose le délicat problème de la modernité au sein d'un peuple chinois très porté sur la tradition. Modernité des relations familiales (le protocole doit-il prévaloir sur le "bon sens" ?), modernité des relations entre les sexes (l'émancipation des femmes, un des sujets centraux de l'oeuvre de Liu Chia Liang, voir à ce titre la place dominante qu'il leur accorde dans nombre de ses films - par exemple Shaolin Mantis ou The Lady Is The Boss, au titre plus qu'évocateur) et modernité culturelle du fait de l'ouverture de la Chine au monde occidental (le film se situe dans les années 20 et l'influence britannique se fait de plus en plus forte).
Modernité des relations familiales. Kara Hui, de par son mariage avec le chef de famille, devient après le décès de son époux la nouvelle chef de famille. Alors que le deuxième oncle (Liu Chia Liang), lorsqu'il va la chercher au port, s'attend à rencontrer une vieille dame, c'est face à une superbe jeune femme deux fois plus jeune que lui qu'il se trouve... S'ensuit bien évidemment un quiproquos savoureux. Le protocole culturel l'oblige pour autant à la traiter respectueusement, alors que culturellement, ce sont les aînés que l'on doit vénérer. Liu Chia Liang nous montre l'absurdité de ces règles ancestrales appliquées à la lettre : il est naturel de respecter ses aînés mais l'élan doit venir du coeur et pas des conventions ! Juste un peu de poils à gratter placés au bon endroit...
Modernité des relations entre les sexes. La jeune femme rechigne tout d'abord à s'imposer dans sa nouvelle famille, malgré son statut de "grand-tante". Cependant, lorsqu'elle rencontre son "petit neveu" (Hsiao Ho) exhubérant et indiscipliné, elle comprend que sa position peut être une arme puissante au sein d'une maison pétrie de traditions. Dès lors, elle n'hésite plus à s'afficher en chef de famille et casse les barrières des sexes pour s'imposer dans toute sa grandeur. Liu Chia Liang se fait alors le chantre de l'émancipation des femmes en nous montrant qu'elles peuvent être l'égal de l'homme si on leur en donne la chance (et dans My Young Auntie, la chance, c'est la position de Kara Hui au sein de la cosmogonie traditionnelle chinoise familiale). Kara Hui en jouera à fond en réclamant une punition pour son petit neveu, malgré les réticences de son neveu (Liu Chia Liang) peu habitué à frapper son fils, et ses propres réticences (elle hésite un peu et se demande, brièvement certes, si elle ne va pas un peu trop loin). La jeune femme découvre aussi qu'elle a un véritable pouvoir sexuel sur son entourage (masculin, bien évidemment), occulté pendant des siècles par la société. Ainsi, elle ne dit trop rien lorsqu'elle comprend que son petit neveu l'a regardée s'habiller : il nous semble qu'elle y prend même un certain plaisir. De plus, lorsqu'elle se vêtit en occidentale, sa robe est tellement échancrée qu'on lui voit toute la jambe quand elle décide soudainement de corriger des admirateurs trop insistants...
Modernité culturelle. Hsiao Ho fait ses études à Hong Kong. A ce titre, il est en contact permanent avec le colon anglais et, comme tout jeune qu'il est, est fasciné par cette culture moderne. Il représente la Chine de demain, même si le réalisateur nous le peint d'une manière un peu caricaturale : il utilise des mots anglais que lui seul - et ses comparses - comprennent, il est habillé à l'occidental (on le voit même vêtu d'un treillis de camouflage lors des scènes de combat finales alors que Kara Hui porte l'habit traditionnel), il n'est pas (plus !) étonné par les automobiles, il remet en cause l'autorité (partenelle, policière... et de sa grand-tante), il traîne dans des soirées costumées, etc. La bande de copains qui l'entoure n'est pas en reste, mention spéciale à un Gordon Liu moustachu, cheveux longs frisés (on n'est pas loin du hippie) qui a délaissé les instruments de musique traditionnels chinois pour une guitare sèche. Hsiao Ho, par bravade et pour l'humilier, va emmener sa grand-tante se faire relooker à l'anglaise : elle réapparaîtra dans la rue en robe blanche, parée de bijoux, munie de gants, teinte en blonde et portant des hauts talons. Bien entendu, elle ne saura pas marcher avec et finira par les enlever... Cette scène drôlatique rend d'ailleurs un petit hommage à la Gilda de Charles Vidor (1946) : dans ce film, Rita Hayworth enlevait ses gants de manière érotique en chantant ("Put the blame on me, babe..."). Là, Kara Hui les remet avant de mettre un coup de poing à un mâle trop encombrant ! Liu Chia Liang ne semble pas vraiment se prononcer sur la diffusion de la culture occidentale dans la culture traditionnelle chinoise. Il pourrait apparaître un peu réactionnaire du fait de son mutisme et du ton moqueur qu'il emploie parfois. Mais je ne suis pas persuadé qu'il en soit ainsi. Pour moi, il prend cette situation comme une fatalité, une évolution inéluctable. Et si ce sont finalement les "vieux" qui viennent au secours des "jeunes", il souhaite simplement montrer que les ancêtres et leurs traditions ne sont pas bons à être relégués dans les oubliettes de l'Histoire. L'avenir doit être appréhendé avec une pleine conscience de son passé. Il faut composer avec lui, pas le rejeter.
C'est en fait le cinéma tout entier de Liu Chia Liang qui est moderne !

Le scénario de My Young Auntie est, comme nous l'avons vu, riche et complexe. Il n'en est pas pour autant démonstratif ou doctoral. Le seul reproche qu'on pourrait lu faire est la séquence bien trop longue du bal costumé. Certes, il est amusant de voir Gordon Liu avec des cheveux (frisés de surcroît !) et jouant de la guitare sèche, mais la scène casse le rythme d'un film pourtant bien enlevé. Il est vrai qu'il est anormalement long pour une oeuvre de la Shaw Brothers : près de deux heures ! Je pense qu'une heure quarante aurait été suffisante.

Les scènes de combat sont superbes, Liu Chia Liang atteignant encore des niveaux d'excellence rarement vus dans le cinéma hongkongais. Kara Hui, après quelques rôles dramatiques, se voit enfin confier un rôle physique et s'en sort à merveille, devenant tout à coup l'égale d'une Cheng Pei Pei (elle gagna d'ailleurs pour son interprétation le prix de la meilleure actrice de l'année aux Hong Kong Awards). Yuen Tak, dans le rôle d'un méchant à moumoute, petit sbire du troisième oncle, est haïssable et parfait dans ses scènes d'action. Hsiao Ho en fait un peu trop dans le registre comique mais donne toute la mesure de son talent dès qu'il faut cogner. Wilson Tong, un habitué des films de Liu Chia Liang et spécialiste du sabre, est encore impeccable.
Mais les palmes reviennent très certainement à maître Liu Chia Liang et à Johnny Wang qui nous offrent un final d'anthologie que vous aurez du mal à oublier.

Un classique de la comédie kung-fu et bien plus que ça : un classique du cinéma hongkongais !
David-Olivier Vidouze 6/30/2004 - haut

Lady Kung Fu    (1981)
2 ans après avoir intégrée l’équipe de Lau Kar Leung et être apparue dans plusieurs de ses films dans des rôles secondaires, Kara Wai reçoit un cadeau de son mentor martial avec le scénario de My Young Auntie. Le film est un pur véhicule pour elle, lui offrant de nombreuses opportunités de démontrer ses capacités d’actrices et d’artiste martiale. La jeune femme ne laissera pas passer une telle occasion et se lancera complètement dans l’aventure. Bien lui en fera car elle obtiendra l’award de la meilleure actrice pour sa prestation. Réussite artistique certaine, le film n’obtiendra pourtant pas un grand succès public. La Kung Fu comédie est alors en train de passer de mode et les œuvres du maître en font les frais.

Comme on pouvait s’y attendre, Lau Kar Leung reste fidèle à lui-même avec My Young Auntie ; c'est-à-dire fidèle aux valeurs d’un Kung Fu Chinois authentique, pur serait on tenté de dire. Respect des aînés (voir le moment où les vieux maîtres viennent sauver la situation à la fin du film) et respect de la tradition (tout les moments opposant Kara à Hsiao Ho, tout particulièrement le passage avec les talons hauts) sont les deux fondements du métrage. Le message est positif et plein de bonne volonté mais il faut bien reconnaître que le vénérable sifu va parfois un peu trop loin. Absorbé par l’aspect comique que l’affrontement des deux camps peut donner, il tend à charger le camps des modernes, le faisant tomber régulièrement dans le ridicule, donnant l’avantage aux tenants les plus extrêmes de la tradition. Un excès de zèle regrettable qui ne traduit d’ailleurs pas véritablement la pensée de Lau comme l’attestera 2 ans plus tard Lady Is The Boss, œuvre jumelle de My Young Auntie où l’opposition tradition/modernité s’avère plus équilibrée, plus fine dans son traitement.

Si Lau souffre d’une expression thématique un peu maladroite avec ce film, il reste toujours en pleine possession de ses moyens pour les volets comique et action.
L’humour a toujours été une constante des films de Lau Kar Leung (rappelons qu’il est à l’origine de la première Kung Fu comédie, Spiritual Boxer). Un aspect d’ailleurs souvent critiqué mais qui fonde bien son style et mérite d’être apprécié. Le chorégraphe réalisateur joue sur plusieurs aspects pour fonder le rire : L’opposition des deux styles de vie Kara/Hsiao bien sur mais aussi les jeux de mots cantonais/anglais et l’attraction de la gente masculine envers la jeune tante. Grâce à des acteurs impeccables (Kara bien sur, qui prouve ne pas avoir volé sa récompense, mais Lau Kar Fai mérite aussi une mention pour son courage à se ridiculiser avec panache) et une exploitation intelligente de ses thèmes, la comédie marche excellemment. Même le bal costumé, souvent décrié, s’avère un petit régal avec ses costumes flashy et son ambiance faussement Européenne !
Lau Kar Leung s’est entouré d’une impressionnante équipe martiale pour ce long métrage. On retrouve bien sur les membres habituels de sa troupe : Kara, Hsiao Ho, Wilson Tong, Lau Kar Fai et le grand Johnny Wang. Mais on y croise aussi Yuen Tak (tout frais sorti de The Master) et Kwan Young Moon (déjà employé pour Return To The 36th Chamber). Avec un tel casting, on ne pouvait avoir droit qu’à du bon. Pas de surprise, le résultat est phénoménal ! Généreux en quantité (les affrontements sont nombreux et longs !), le maître n’a pas sacrifié à la qualité. Les chorégraphies sont rapides, intenses et incroyablement techniques, tout ce que l’amateur averti est en droit d’attendre. Le plus impressionnant tient à ce que, tout en maintenant ce niveau de qualité tout au long du film, le maître parvient encore à le rehausser d’un cran quand il entre lui-même en action. La démonstration du sifu est implacable ! Chacun de ses mouvements respire l’authenticité et la maîtrise. Quand il est enfin confronté à quelqu’un de son calibre (le toujours impeccable Johnny Wang), le résultat tient à un véritable rêve de fan de films de Kung Fu. Tout simplement incontournable !
Arnaud Lanuque 4/26/2004 - haut

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